The testimonial was translated by “DeepL” online translation service without editing from the original in French
My tai chi worked with Ben Chung
According to my health condition
I wasn't sure if I would go to Ben Chung's in British Columbia to do Tai Chi. I was in very bad shape. I had lower back pain due to L4 L5 stenosis. I had surgery in January 2018. Since then, I had too much pain to want to move. I stopped all exercise, even Tai Chi.
I took the pills the doctor prescribed for me. I became a zombie. I was also diagnosed with severe fibromyalgia (more pills). I had lost my appetite, I was always very tired, I was sick with vomiting and I had diarrhea. That's the condition I arrived at Ben's house.
When I arrived, Ben asked me to do a sitting meditation, feet on the ground, hands on thighs, and eyes away, while breathing deeply. I was looking at the beautiful landscape of the Okanagan Valley; the mountains, the lake, the fruit trees, the flowers and the garden. And it was so beautiful that I started crying. Tears that wanted to come out for so long.
A flock of small birds passed and passed in front of the French window. I could hear them screaming at me: "Fly, fly, fly! That's what life is all about! FLIGHT! "The message was clear. I hadn't flown for so long.
I had no expectations. I knew I was in good hands with him. I explained to Ben that my tai chi, I no longer knew how to do it to do myself good. It was empty, without energy. I had no positive benefits, only pain.
The next morning, Ben said to me after lunch: "Okay, toryus. I do it as best I can, but I knew it wasn't such a bad choreography. He made three corrections to me. I was missing stretching, relaxation and breathing.
I do so with excitement. Relaxation in the hip joint was difficult while allowing the arms to stretch forward, without advancing the head and front knee. Easier on the left than on the right for me. I practiced, practiced, practiced, practiced starting with the least flexible side. My movements were too fast. The execution must be done slowly.
I also made donyus in the same way. Move your arms forward, move your back back, relax/relax your pelvis (hips) as if I were sitting on a high bench. Without moving my thighs, just drop my buttocks back and straighten up by my head.
Tai chi performed slowly with relaxation in the hip joints and stretching of the arms, without moving the head and knees forward, while breathing deeply, is the key to my tai chi.
Every day of the week, I practiced this way and I felt that my tai chi was becoming more and more flexible. On Tuesday evening, Ben had a class in Naramata and I felt good enough to attend. I managed to do my tai chi with the group. When the class ended, I noticed that I felt the energy, the heat it produced, the inside of the red hands and especially the lower back which had almost no pain left. A flexibility that I hadn't had for a very long time. It was a miracle.
A miracle that will not last if I don't continue to practice for 30 minutes a day, even if I have pain. Ben told me there won't be a second miracle. That's where my discipline begins. It was easy at Ben's. He was there to guide and encourage me. But I'm going to make it, I want to be in good shape.
This is where we see the importance of having a Master in Tai Chi. I would never have made it on my own.
Many thanks to Ben Chung for his invitation to his home and the time he has given me.
Ghislaine Désaulniers
Naramata, B.C., September 2019
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Original testimonial
Mon tai chi travaillé avec Ben Chung
Selon ma condition de santé
Je n’étais pas certaine d’aller en Colombie-Britannique chez Ben Chung pour faire du tai chi. J’étais très mal en point. J’avais des douleurs dans le bas du dos dues à une sténose L4 L5. On m’a opérée en janvier 2018. Depuis ce temps, j’avais trop mal pour avoir le goût de bouger. J’ai cessé tout exercice même le tai chi.
J’ai pris les pilules que le médecin m’avait prescrites. Je suis devenue zombie. On m’a aussi diagnostiqué une fibromyalgie sévère (encore des pilules). J’avais perdu l’appétit, j’étais toujours très fatiguée, j’avais mal au cœur avec vomissements et je faisais de la diarrhée. Voilà dans quelle condition je suis arrivée chez Ben.
En arrivant, Ben m’a demandée de faire une méditation assise, les pieds par terre, les mains sur les cuisses, et le regard au loin, tout en respirant profondément. Je regardais le très beau paysage de la vallée d’Okanagan; les montagnes, le lac, les arbres fruitiers, les fleurs et le jardin. Et c’était tellement beau que je me suis mise à pleurer. Des larmes qui voulaient sortir depuis si longtemps.
Une volée de petits oiseaux passaient et repassaient devant la porte-fenêtre. Je les entendais me crier : « vole, vole! C’est ça la vie! VOLE! » Le message était clair. Je ne volais plus depuis si longtemps
Je n’avais pas d’attentes. Je savais que j’étais entre bonnes mains avec lui. J’ai expliqué à Ben que mon tai chi, je ne savais plus comment le faire pour me faire du bien. Il était vide, sans énergie. Je n’avais aucuns bienfaits positifs, que des douleurs.
Le lendemain matin, Ben me dit après déjeuner : »O.K toryus ». Je m’exécute du mieux que je peux mais je savais que ce n’était pas si mal comme chorégraphie. Il me fit trois corrections. Il me manquait l’étirement, la détente et la respiration.
Je m’exécute avec fébrilité. La détente dans l’articulation de la hanche était difficile tout en laissant les bras s’étirer vers l’avant, sans avancer la tête et le genou avant. Plus facile à gauche qu’à droite pour moi. J’ai pratiqué, pratiqué, pratiqué en commençant par le côté le moins souple. Mes mouvements étaient trop rapides. L’exécution doit se faire lentement.
J’ai fait aussi des donyus de la même façon. Avancer les bras vers l’avant, reculer le dos, relaxer/détendre le bassin (les hanches) comme pour aller m’asseoir sur un banc haut. Sans bouger les cuisses, laisser tomber juste les fesses vers l’arrière et me redresser par la tête.
Le tai chi exécuté lentement avec détente dans les articulations des hanches et l’étirement des bras, sans avancer la tête et les genoux, tout en respirant profondément, c’est la clé de mon tai chi.
Tous les jours de la semaine, j’ai pratiqué de cette façon et je sentais que mon tai chi devenait de plus en plus souple. Le mardi soir, Ben avait un cours à Naramata et je me sentais assez bien pour y assister. J’ai réussi à faire mon tai chi avec le groupe. Quand le cours pris fin, j’ai constaté que je sentais l’énergie, la chaleur quelle produit, l’intérieur des mains rouges et surtout le bas du dos qui n’avait presque plus de douleur. Une souplesse que je n’avais plus depuis très longtemps. C’était un miracle.
Un miracle qui ne durera pas si je ne continue pas à pratiquer 30 minutes par jour, même si j’ai des douleurs. Ben m’a dit il n’y aura pas de deuxième miracle. C’est là que commence ma discipline. C’était facile chez Ben. Il était là pour me guider et m’encourager. Mais je vais y arriver, je veux être en forme.
C’est là que l’on voit l’importance d’avoir un Maître en tai chi. Je ne m’en serais jamais sortie toute seule.
Mille mercis à Ben Chung pour son invitation chez lui et le temps qu’il m’a consacré.
Ghislaine Désaulniers
Naramata, C.B., Septembre 2019